Première diffusion 25.12.2020

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Pour Cristina Almici, il n’y a pas un avant et un après «Hospice du Grand-Saint-Bernard». Sa vie est un tout qui s’est enrichie de cette expérience

– En 2013, Cristina Almici répond à un appel intérieur. Elle vend sa maison et quitte son emploi pour aller offrir ses services comme bénévole à l’hospice du Grand-St-Bernard en Valais. Elle y restera cinq ans. Elle revient sur cette expérience, «un cadeau de la vie».

Ecoutez l’intégralité de la chronique :

La vie en altitude n’a rien s’une sinécure. Huit mois par année, l’Hospice n’est atteignable qu’à pied, en raquettes ou à peau de phoque, sans compter les risques d’avalanche, les vents furieux et les journées où on y voit rien à deux mètres. A l’hospice, Cristina s’emploie à seconder bénévolement la petite communauté de chanoines dans l’accueil des hôtes de passages. Pas moins de 10 000 personnes y sont hébergées pour la nuit chaque année. Le travail ne manque pas. Au cœur des choses et du faire, au contact des chanoines, Cristina développe sa spiritualité.

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A l’hospice du Grand-Saint-Bernard, il importe aux chanoines et aux bénévoles qui les secondent que chacun se sente accueilli: les pèlerins, comme les blessés de l’Eglise ou encore les personnes d’autres croyances ou qui n’en ont pas

Cristina Almici nous raconte comment on fête Noël à l’hospice du Grand-Saint-Bernard :