– Pour convertir le monde en un espace plus durable et plus équitable, la transformation commence par soi-même. C’est le postulat de la transition intérieure. Entretien avec l’un de ses plus fervents adeptes, Michel Maxime Egger.
Michel Maxime Egger, écothéologien, sociologue, responsable du Laboratoire de transition intérieure des ONG Pain pour le prochain et Action de Carême. Photo : Sophie Brasey
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Pour l’écothéologien, afin qu’un maximum de personnes s’investissent pour le bien-être de la planète, il faut promouvoir une écologie du désir et renoncer aux injonctions ou à la culpabilisation. C’est pesant et ça ne fait pas avancer les choses.
Démarche écologique et spirituelle, la transition intérieure invite chacun à prendre soin du vivant, simplement qu’il ou elle cultive un lien profond avec cette nature qui nous entoure. Photo : Sophie Brasey